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In the nervous light
27 janvier 2006

J'aurais voulu arrêter d'm'forçir à t'avaler tout

           J'aurais voulu arrêter d'm'forçir à t'avaler tout cru et tes tristes couteaux finissent toujours par m'encercler, m'lacérer poitrine qui siffle quand j'essaye de t'occulter poumons qui s'filent en douce aiguille à m'tricoter visage j'suis pas copie conforme j'ai juste regard qui pointe les soirs où j'te relis j'accuse avec foi ce que nous sommes.
J'crèverais bien à ta porte pour t'voir t'démembrer que tu m'enterre sous la piscine où ça fait longtemps qu'tu m'as noyée avec tes poings d'honneur j'nous manipule comme on soude deux têtes d'épingles comme nos yeux, tu sais, ce qui t'démontrent, ceux qui t'équationne produit d'facteurs est nul si au moins un que j'suis TIENNE? j'voudrais arrêter d'm'lacérer corps faisandé derrière cellophane  arrêter tous ces cris en apostrophe mes cils tombent des neiges et j'sais pas t'articuler je ne suis que pro-gênée confiture étalée sur la plaie regarde la bien j't'en claquerai l'astre au nez et tu saignerais ta montre faisait mal.
J'boursoufle donc toute seule tandis que toi tu valse autour de ta catin avec véhemence il faudrait que tu t'vois ramper et j'nous lombriquerait sous ton regard qui foisonne l'mépris.
Que faudrait-il faire alors ? Que faudrait-il faire pour qu'tu t'décide enfin à me VOIR et qu'j'arrête de cramer les bouts de doigts jaunes  et qu't'arrête de me désarticuler.
J'voudrais t'déboiser c'qui t'empêche d'arrêter d'me jauger comme une fi(o)lle à vide que j'arrête d'faire tourner compresseur respirer TOUTE SEULE ?
Je n'arrive plus à poser ma main sur les touches d'ta virtuose tant choyée il faudrait t'voir à ce point te dévertebrer.
Suis-je donc cette putain qui défait que tes affaires les p'tits mots doux qu'tu répète à toutes tes groupies et qu'tu m'laisse traîner d'vant verglas j'ai pas pris garde tu l'aurais prédit toi, derrière ton monde d'PDG-néré derrière mes sales manies mets pas tes coudes cadavres tu m'rends aveugle.

           J'aurais dû avoir du plat là où ça saigne là où tu écrase toutes tes merdes et qu'j'pompe et quand j'marche matin pour t'faire plaisir et que j'le sens tourner cet espèce de morceau d'chair qu't'as mis sous l'aorte, j'aurais dû avoir du plat et t'regarder démonter tes moteurs qui puent moins la graisse que moi, t'regarder tout démolir avec tes poings d'honneur qu't'as tant joui à m'fracasser mon visage ''d'putain'', t'regarder faire et qu'tu m'dise c'est bien mon fils.
T'aurais eu d'la joie bouillante, t'aurais pû arrêter d'me regarder avec toute cette paresse que j'engraisse bientôt tu pourras m'méchouiter avec tous tes connards avec un p'tit rosé pour tout digérer t'aurais été mon Zeus plutôt qu'ça regarde moi parce qu'il faut une dernière fois, t'es père-suadé qu'on m'fais détourner alors à ce point j'aurais aimé qu'tu sois mon piquet d'bourse et j't'aurais regardé t'effondrer avec tout plein d'jaune pisse sur toi et tu m'aurais vue et j'suis sûre qu't'aurais fait comme avec ton ange tu m'aurais suçotté les orteils en m'suppliant d'te sauver.

"Interview at the ruins" and co.

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Commentaires
L
Tu gagnes !
L
la juste<br /> ice <br /> nique. son.<br /> père.<br /> son.<br /> père nique.<br /> son.<br /> père.<br /> niq' niq' nique sa<br /> Père - père.
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