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In the nervous light
14 mai 2008

- Ecrits yeux fermés -

Dans le pâle d'un horizon oublié, la pousse est tombe. Escaladée aux malsains d'un rêve sans peau et d'accords étonnés, une perruque en terre, tendre d'une lèvre au teint pâle.
Et solitude d'une escapade, reste aux coudes décharnés une peine nécessaire, et je prie souvent le soir de te revoir sans y voir l'ombre d'un homme et tant  tant de baisers sur nos couches sans épidermes ni centre, au nombril un doigt empreint d'oubli, et au sein cette langue de vase, goémon usurpé laisse moi encore te.
Au détriment d'une cascade sonore, ces cheveu pale  risque de te briser encore, faudrait il seulement que nos mains se touchent pour pardonner à l'égo sale d'une seule dépouillée, et sans aucun doute te verrais je encore, les yeux en cils et les mains en or, mon cou sans poids et ta bouche quelque part. Te revoir encore, dis moi si ces rêves sont punitions ou fortes d'un risque indissociable, inexpliqué, d'une fortuite rencontre, d'un baiser volé ?
Je sais encore ce rideau fuyant, translucide à sens unique, mordille mon cœur avant même de te parler, je ne sais plus les sentiments ni l'égo bousillé, pardonnerais tu faute d'une explication saine de croches entreposées sur le plat du sol puisque l'aiguille en plante remonte toujours, et ne t'oublie donc jamais.

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